Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Poésie française | Photographie | Gravure | Manuscrits à enluminures | La cité des dames - Christine de Pisan (1363?-1431?) | Féminisme et littérature | Caricaturistes | Honoré Daumier (1808-1879) | Poésie satirique française | Poésie engagée | Littérature engagée | Victor Hugo (1802-1885) | Féminisme et histoire | Féminisme | Claude Nougaro (1929-2004) | Art contemporain | Toulouse (Haute-Garonne) | Garonne (cours d'eau) | Plaques commémoratives | Gérard de Nerval (1808-1855) | ...
C'est une Garonne de Claude Nougaro. Source : http://data.abuledu.org/URI/5942f333-c-est-une-garonne-de-claude-nougaro

C'est une Garonne de Claude Nougaro

Plaque sur laquelle est inscrit le poème "C'est une Garonne" de Claude Nougaro.

Poème de Gérard de Nerval. Source : http://data.abuledu.org/URI/5942f539-poeme-de-gerard-de-nerval

Poème de Gérard de Nerval

Poème de Gérard de Nerval, tour Saint-Jacques, Paris 4e arr.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

Les châtiments de Daumier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5205d913-les-chatiments-de-daumier

Les châtiments de Daumier

Dessin d'Honoré Daumier, hommage à l'oeuvre de Victor Hugo (1802-1885) : Les Châtiments, 1853, (ou Châtiments, sans article, conformément à l’editio princeps) est un recueil de poèmes satiriques ; à la suite du coup d'État du 2 décembre 1851 qui voit l’arrivée au pouvoir du prince Louis-Napoléon Bonaparte, Hugo s’est exilé. Ces vers sont, pour le poète, une arme destinée à discréditer et abattre le régime de Napoléon III auquel Hugo voue une fureur vengeresse et un mépris sans bornes : J'ai pensé qu'il m'était impossible de publier en ce moment un volume de poésie pure. Cela ferait l'effet d'un désarmement, et je suis plus armé et plus combattant que jamais.